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               Notre clip du TNLA 2017

                    

Les Ovinpiades


C'est dans une bergerie de Blanquefort chez l'éleveur Julien que se sont réalisées les ovinpiades.

  Pendant ce concours il fallait premièrement noter l'état corporel de trois animaux (sur une échelle de 1 à 5).


   
Ensuite il faut attraper un animal pour l'asseoir. Une fois assise, on en profite pour évaluer l'état de santé! On regarde la couleur de la troisième paupière, les dents et la mamelle pour dépister les mammites.


    
Une dernière épreuve de tri et de parage clôture le passage de chaque participant.



Le TNLA sur le podium !!!

 Le palmarès :

1° Louise Grafeille
2° Marcelin Beneteau
3° Evann Chassier
4° Elève du Lycée La Réole
5° Victor Felleti
6° Alexia Bourson
7° Amendine Berguer
8°Thomas Castin
9° Laura Lacampagne




Cela fait 2 ans que le vel'phone est arrivé sur la ferme du lycée, mais qu'est-ce que c'est un vel'phone ?




Le vel'phone est un outil électronique qui informe du moment du vêlage, cela permet à l'éleveur de ne pas rester sur place pour un vêlage qui arriverait dans quelques minutes comme dans quelques heures, de cette façon il gagne du temps.




Quelques jours avant le vêlage on place le vel'phone dans le vagin des vaches, ce dispositif est relié à un, deux ou trois portables maximum il prend constamment la température de l'animal et en fonction de son évolution 
informe par SMS du moment du vêlage : « vêlage dans les 48h ».


Il existe différentes tailles « d’araignées » (dispositifs vaginaux) à mettre en place selon les morphologies des vaches, ils sont reconnaissables par un code couleur blanc, jaune, ou bleu.









La mise du vel'phone se fait grâce à un pistolet.






Sur la période  2013 2014 le taux de mortalité était de 9,4% , sur la période 2014 2015 après la pose du vel'phone le taux de mortalité est passé à de 5,4%.
Grâce à la survie des veaux il a été rentabilisé en moins de deux ans.
Le coût du vel'phone est 3650 € HT, il est amorti sur trois ans.







L’agroforesterie

L’agroforesterie désigne les pratiques, nouvelles ou historiques, associant arbres, cultures et-ou animaux sur une même parcelle agricole, en bordure ou en plein champ.

Ces pratiques comprennent les systèmes agro-sylvicoles mais aussi sylvo-pastoraux, les pré-vergers (animaux pâturant sous des vergers de fruitiers)...


Diversifier la production des parcelles
Les arbres permettent de diversifier les services et sources de revenu sur l’exploitation : productions agricoles, bois d’œuvre, bois énergie, fruits, fourrage, litière, paillage…
                                                    
Restaurer la fertilité du sol
Les arbres restituent de la matière organique via les feuilles qui tombent au sol et la décomposition des racines : 40 % de la biomasse d’un arbre retourne au sol chaque année. Les racines structurent aussi le sol, facilitant son activité biologique. Ces apports améliorent donc la fertilité du système.

Les enjeux
Par-delà la conduite d’une parcelle agricole, l’agroforesterie s’inscrit dans des projets de territoires (énergie, alimentation…) :
      Gestion de l’eau à l’échelle des bassins versants
      Augmentation des besoins en bois / Compétition foncière
      Pérennité de l’apiculture (qualité et diversité des ressources)
      Continuité et corridors écologiques
      Loisirs et activités de pleine nature (chasse, pêche, randonnée, agri-tourisme…)


Le développement des techniques
Si les premiers projets de recherche en France consistaient surtout à réaliser des alignements d’arbres monospécifiques au milieu des cultures, l’agroforesterie telle qu’elle est reconnue et développée aujourd’hui intègre pleinement les haies et actualiser les savoirs-faire paysans. Son efficacité repose sur une grande diversité d’essences, de techniques, de types d’aménagement ou de tailles des arbres pour concilier production de biomasse et protection de l’environnement.

Plantations pluri-spécifiques / valorisation de l’existant en bordures et plein champ / régénération naturelle / restauration d’arbres têtards, introduction de bandes de taillis linéaires

Complémentaires à la gestion de l’arbre, les techniques de conservation des sols (techniques culturales simplifiées, couverts végétaux, semis directs..) miment le fonctionnement des écosystèmes naturels (prairie, forêt) et recréent de l’humus dans les sols. Objectifs des agriculteurs : réduction des intrants, limitation de l’érosion, diversité des débouchés.

Sur les parcelles du lycée, c’est donc pratiquement 1300 arbres qui ont été plantés (anciennes variétés fruitières)… Ces arbres vont permettre d’offrir de l’ombre aux volailles, de stopper les courants d’air devant les bâtiments bovins et d’améliorer le srendements en herbe des parcelles.



L'équipe du TNLA

POINTAGE: LE TNLA SUR LE PODIUM !


Le pointage permet d’apprécier des animaux sur leur morphologie selon des critères donnés par espèce et race.
Différentes espèces et races ont été pointées : les élèves ont pointé des bovins Blonde d'aquitaine, des Prim'Holstein, des Bazadaises et des équins Selles et Traits.








Durant ce pointage différents aspects ont décrits: morphologie, état sanitaire, évolution de l'animal aux différents stades de la croissance ainsi que la production.
Ces pointages serviront à l'amélioration de la génétique et de la production.


Les épreuves de pointage se déroulent en 2 temps :

-Les épreuves éliminatoires : Celles-ci se sont déroulées le vendredi 9 Décembre 2016 au lycée agricole de Bazas. Des élèves de la filière élevage (2nd production, 1ère et Terminale CGEA), les 2nde GT et les 1ère STAV ont participé à ces épreuves.

-Dans chaque catégorie d'animaux pointés, les 20 meilleurs élèves peuvent participer à la finale départementale de Gironde.

Des apprentis du CFA de La Réole se sont joints à nous pour les épreuves bovines.

Des représentants du Lot et Garonne sont venus pointer à leur tour des animaux de race Bazadaise au lycée.

Ces épreuves se sont déroulées le Jeudi 15 Décembre dans différentes exploitations de la région.

Bovins : Bazadais : Dans l’exploitation de notre lycée

Prim'Holstein : Chez un éleveur-sélectionneur laitier à Sigalens (20 km du lycée)

Blonde d'aquitaine : Au lycée agricole de Saint-Livrade

Equin : Selle : A l'élevage de Kerser (5 km de Bazas)

Trait : Un agent de l'IFCE (Institut Français du Cheval et des équidés) venu accompagné de deux étalons Traits Bretons au centre équestre du lycée.

Seront qualifiés pour représenter la Gironde au Salon de l'Agriculture de Paris ou va se dérouler la finale nationale de pointage :

-Les deux meilleurs des épreuves équins,
-les deux meilleurs des épreuves bovins Bazadais
-le meilleur des épreuves en Blonde d'Aquitaine
-le meilleur des épreuves en Prim'Holstein,!!!!


Nous sommes donc heureux de vous annoncer qui représentera la Gironde à Paris !!!!



Bovin :

-Bazadais : Evan CHASSIER, Terminale CGEA. (équipe tnla)
                    Arnaud STARCK, Terminale CGEA . (équipe tnla)

-Prim'Holstein : Marcellin BENETEAU, Terminale CGEA. (équipe tnla)

-Blonde d'Aquitaine : Jeremy LEY, Terminale CGEA. (équipe tnla)

Équin :

- Pauline COLLIARD, 2nde GT.
- Jean-Paul METZGER, 1ère CGEA.



Nous leur souhaitons bonne chance !!!




L'équipe du TNLA.








La grippe aviaire


Qu'est ce que La grippe aviaire:

La grippe aviaire désigne les différentes formes du virus de la grippe qui infecte les oiseaux sauvages et les oiseaux domestiques. La maladie est également connue sous le nom de peste aviaire.
En 2004, une souche H5N1 du virus a été mise en avant en raison de son danger et de sa transmissibilité à l'homme.
Cette affection est transmissible entre volailles et plus rarement à des mammifères (dont le porc qui est à la fois réceptif aux virus grippaux aviaires et virus grippaux humains), mais elle est habituellement difficilement transmissible à l'homme. Certaines espèces d'oiseaux, et en particulier certains canards sont souvent porteurs asymptomatiques.

En France:
En France Vingt-sept foyers de grippe aviaire sont recensés dans des élevages de volaille du sud-ouest, ainsi que quatre cas dans la faune sauvage, à la date de vendredi.

Selon le site du ministère de l'Agriculture. Les 27 foyers sont situés dans sept départements du Sud-Ouest de la France : le Gers (11 foyers), le Tarn (7), le Lot-et-Garonne (4), les Pyrénées-Atlantiques (2), les Landes (1), les Hautes-Pyrénées (1) et l'Aveyron (1).

Par ailleurs, deux nouveaux cas ont été découverts dans la faune sauvage, qui s'ajoutent aux deux premiers déjà détectés : en Haute-Savoie sur un goéland et sur une tourterelle turque dans le Tarn, département où le premier élevage infecté avait été détecté début décembre.

Au total, 13 pays européen sont touchés par ce virus et le nombre de cas continue d'augmenter. 

Grippe aviaire : vigilance accrue en France 


Pour plus d'actu Agricole:  Ministère de l'Agriculture



Fine, une Bretonne Pie-Noir, égérie du Salon International de l'Agriculture



 Fine est une vache Bretonne Pie-Noir. Issue d'un élevage près de Redon (35), elle sera la star du Salon International de l'Agriculture du 25 février au 5 mars  2017, présente sur toutes les affiches.








1,17 de haut pour 450 kilos. Fine est née en mars 2010 à la ferme des 7 chemins à Plessé (44). C'est une Bretonne Pie-Noir, descendante d'Akénaton et de Capucine. Avec son comportement de "chef" au sein du troupeau, Fine est la fierté de son éleveur, Cédric Briand, qui ne tarit pas d'éloges sur elle :
 "Elle ne fait pas de bruit, elle donne son lait, elle fait son veau tous les ans... Même si elle est gourmande et sait ce qu'elle veut"






C'est la première fois que le salon international de l'agriculture choisit une Bretonne Pie-Noir comme égérie. Un évènement et une reconnaissance pour cette race à petit effectif qui a failli disparaître. Cédric Briand et ses deux associés font partie de la cinquantaine d'éleveurs de Bretonne Pie-Noir. Ils se sont installés il y a 10 ans à Plessé. Ils transforment le lait de leurs 40 vaches en fromage, beurre, crème vendus sur l'exploitation ou par l'intermédiaire de circuits de proximité.

Une race menacée de disparition:

La Bretonne Pie-Noir est la plus petite vache de France. C'est l'une des plus anciennes races locales, rustique et bien adaptée au territoire breton. La race a pourtant failli disparaître dans les années 70, à cause de l'agriculture intensive. En 1976, elle bénéficie du premier programme français de sauvegarde d’une race bovine en péril. A cette époque, on ne comptait plus que 46 éleveurs et 311 animaux.

Fine, une Bretonne Pie-Noir, égérie du Salon:



ICI site: Vache Bretonne pie noir







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